Écrire à son enfant intérieur, c’est lui tendre la main à travers le temps, c’est reconnaître sa douleur, ses besoins, ses espoirs. C’est un acte de réparation, de réconciliation et de guérison. En lui parlant, on se libère, on se réconcilie avec notre histoire, on se donne la permission de vivre pleinement.